lundi 14 mars 2011

Ko Lanta : suite de nos aventures


















Ce dimanche, nous profitons de la mobylette pour explorer le centre de l'île. A part le tourisme et la pêche, les cultures d'hévéa sont une des principales ressources de l'île. La sève de celui-ci est récoltée par incision du tronc et permet la fabrication de caoutchouc naturel. Ces plantations sont éparpillées dans la forêt du centre de l'île. La balade au milieu de cette petite jungle est très belle, nous voyons de nombreux papillons et même un serpent... mais un tout petit hein...
Après un bref passage au bungalow pour un bon bain de mer et pour éviter d'être en plein soleil durant les heures les plus chaudes (facilement 35 degrés tout de même) nous partons visiter le sud de l'île. Les longues plages de sable fin se succèdent, certaines très touristiques ont des petits airs de Costa del Sol, d'autres sont presque désertes.
Nous nous arrêtons sur l'une d'entre elles pour admirer le coucher du soleil, les quelques nuages présents le rendent encore plus beau. Un peu plus loin, nous trouvons un super petit resto, perdu au milieu des pizzerias allemande et autres restos hors de prix, nous y dégustons de succulents petits plats dont une des spécialités thaïs, la salade de papayes vertes (au premier plan), c'est très bon et très frais, n'hésitez pas à demander « no spicy »...
Ce jour là nous apprenons le tremblement de terre dramatique suivi d'un tsunami au Japon. Les différents reportages que l'on peut voir à la télévision thaïlandaise nous montrent que la menace d'un nouveau tsunami est toujours bien présente dans l'esprit des gens. Un peu partout sur l'île, on observe des traces du tsunami de 2004, de très nombreux panneaux indiquent le chemin d'évacuation le plus direct en cas d'alerte et chaque plage affiche son plan d'évacuation par exemple. Étant actuellement dans l'Océan Indien, nous ne courrons aucun risque.









Lundi matin, nous terminons notre découverte de l'île par le Nord et la ville de Saladan, où nous étions arrivés en ferry. Plutôt qu'une ville, ce sont en fait deux rues commerçantes où l'on peut trouver un peu près de tout mais surtout des tongs, des maillots et des paréos...
Nous rendons la mobylette vers midi et nous offrons une après midi farniente à l'hôtel en dégustant de délicieux fruits frais (ananas pour Alice et pastèque pour Joël).
Le soir nous établissons nos quartiers dans un petit bar abandonné à deux pas de l'hôtel, le bien nommé Indepence bar (sic).

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